Actuellement, je n’offre plus ce service comme pair-aidante indépendante.
Je laisse cette page, uniquement à titre d’information.
D’abord, je veux te dire deux choses :
Premièrement, nous avons tous le droit à une vie épanouie, dans le respect de qui nous sommes.
Deuxièmement, tu es une personne précieuse, exactement telle que tu es.
Lucila Guerrero, mentore pair-aidante
Première cohorte de pair-aidance de l’Université de Montréal
Ce qui fait de nous des pairs, ce n’est pas uniquement de partager une condition en santé mentale, mais d’avoir traversé des défis et des moments de souffrance qui nous ont permis d’acquérir des stratégies de résilience. Ces expériences, enrichies par mes savoirs acquis lors de ma formation en pair-aidance, de mon travail en tant que paire-aidante, et de mon rôle de collaboratrice de recherche, me donnent la capacité de comprendre et de soutenir les autres de manière authentique.
Mes savoirs expérientiels, conjugués à mes compétences professionnelles, sont au cœur de ma pratique. Je m’efforce aussi de cultiver des attitudes et des compétences essentielles pour offrir un soutien non seulement précis et adapté, mais aussi empreint de réciprocité, en tant que mentore pair-aidante.
Le mentorat peut inclure l’explication des notions de neurodiversité, de neuroaffirmation, des connaissances actuelles sur l’autisme, l’accompagnement dans le processus d’auto-connaissance et d’acceptation de soi, ainsi que le soutien tout au long du parcours de rétablissement en santé mentale.
Certaines précisions
Il est important de préciser que le mentorat que j’offre ne vise pas à « guérir » une personne. Le rétablissement est plutôt un processus de cheminement vers une nouvelle harmonie dans les différents aspects de la vie. Un parcours vers le bien-être notamment avec l’autodétermination et l’espoir.
Ensuite, l’écoute respectueuse et sans jugement ainsi qu’une approche centrée sur la personne sont des principes de base du soutien par les pairs.
Également, l’accompagnement peut se réaliser uniquement si la personne concernée le désire.
Enfin, je ne décide pas ce qu’il faut faire ni comment le faire. Je reconnais pleinement la liberté d’action de la personne et accorde une grande importance à ce qu’elle exprime. Mes commentaires sont avant tout des propositions de réflexion et un partage d’informations. Ensemble, nous explorons les forces et les intérêts. J’accompagne, par exemple, dans la compréhension de l’origine d’un comportement et dans la réflexion sur des stratégies pour améliorer la qualité de vie, sans pour autant fournir de formule ou de recette à suivre.